Par Chayet Chienin / Fields Magazine, le 15 février 2016
Lorsque Homs, sa ville natale s’est retrouvée assiégée, Bassel Tawil a attrapé son appareil et a commencé à photographier la guerre en Syrie. Puis il a essayé de quitter Homs mais s’est fait arrêter et a été torturé. Il a finalement réussi à s’évader et à fuir au Liban et enfin en France, grâce au soutien de la Maison des journalistes. Il est un des fondateurs de « Lens of a Young Hosmi » un collectif de photographes qui contribue à apporter les preuves de la destruction de Homs.