« Free Iran ? Quarante ans après, réflexions sur la révolution » est le titre de la table ronde organisée par la Maison des journalistes en collaboration avec le Caffè dei Giornalisti dans le cadre du programme Presse 19 en Italie.
La rencontre aura lieu le mercredi 28 novembre 2018 de 18h30 à 20h au Circle de la presse de Turin (Palazzo Ceriana Mayneri – Corso Stati Uniti 27, Torino).
Les intervenants :
Professionnels de la Maison des journalistes :
Rasoul Asghari, journaliste iranien, exilé en France depuis 2012
Mariam Mana, journaliste afghane, exilée en France depuis 2015
Avec :
Darline Cothière, directrice de la Maison des journalistes
Farian Sabahi, journaliste spécialisée dans le Moyen-Orient et écrivaine
Introduction de :
Federico Ferrero, directeur de la rédaction du Caffè dei Giornalisti
Free Iran ? Quarante ans après, réflexions sur la révolution
Il y a 40 ans, l’Iran a été le théâtre d’une révolution qui a bouleversé le système politique.
Pays aux multiples contradictions, l’Iran se trouve aux dernières places du classement international de la liberté de la presse de Reporters sans frontières. Malgré cela, sa population est en effervescence et lutte pour obtenir des changements concrets.
Dans les manifestations de rue de la société civile contre les pouvoirs constitués, le peuple demande, entre autres, des mesures de lutte contre la pauvreté, causée notamment par l’effondrement de sa monnaie.
Dans le travail des journalistes et des militants dissidents, on voit la tentative de rendre l’Iran une nation moderne, plus libre et plus juste.
Cette table ronde vise à ouvrir un dialogue sur l’Iran, quarante ans après la révolution, dans un moment historique dans lequel les sanctions économiques imposées par les États-Unis mettent encore plus en difficulté la vie des citoyens déjà menacés dans leurs libertés fondamentales.
Pour télécharger l’affiche en italien (version PDF), cliquez ici
Pour s’inscrire :
Cette rencontre rentre dans le cadre des formations adressées aux journalistes italiens : la participation attribue 4 crédits.
Pour s’inscrire, les journalistes peuvent accéder à la plateforme en ligne Sigef.
Si vous n’êtes pas journaliste et souhaitez assister à la rencontre, envoyez un email avec votre nom et prénom à : eventi@caffedeigiornalisti.it
Journée internationale de l’impunité des crimes commis contre les journalistes
« Au lendemain de la célébration de la paix, n’oublions pas que les journalistes sont un rempart face aux autoritarismes et aussi des garants de notre liberté ».
Christian Auboyneau, Président de la Maison des journalistes
Depuis 2000, ce sont plus de 700 journalistes qui ont été tués parce qu’ils tentaient d’informer le public sur les faits dont ils avaient été témoins. L’inventaire des noms, connus ou moins connus, serait long et on se souviendra entre autres d’Anna Politkovskaïa, assassinée à Moscou en 2006.
Plus grave encore, à peine 10% des crimes commis contre des professionnels des médias ont abouti à une condamnation de leurs auteurs. Cette quasi-impunité constitue un encouragement pour les criminels et les groupes armés qui se font régulièrement remarquer par leurs actions contre les journalistes.
Alors, dans ces conditions, pourquoi décréter une journée internationale ? Elle aurait pu concourir dans la catégorie du « plus long intitulé pour une journée internationale », mais elle est tout à fait sérieuse et tout à fait officielle puisque décrétée par l’assemblée générale de l’ONU en 2013.
Cette résolution historique a le mérite de condamner l’ensemble des attaques de toute nature perpétrées contre des journalistes. Elle engage aussi les États à faire plus pour prévenir cette violence, en permettant à la justice de rechercher et condamner les auteurs des crimes.
La volonté de l’ONU est claire: promouvoir un environnement qui permette aux journalistes d’effectuer leur travail en toute indépendance et sans ingérence de la part des autorités.
RETROUVER LE BILAN DES CRIMES COMMIS CONTRE LES JOURNALISTES SUR NOTRE MÉDIA INTERNET
Renvoyé Spécial PJJ Val d’Oise : C’est parti avec les stages de citoyenneté
« Son vécu, son courage, son récit ont été très intéressants. Je n’avais jamais entendu parler de la situation tragique des droits de l’Homme en Mauritanie… Son témoignage m’a touché énormément. J’espère que grâce à Monsieur Mamoudou Baidy et aux autres journalistes combattent pour la liberté d’information, la situation dans le monde pourra un jour s’arranger. », a déclaré un jeune placé sous protection judiciaire suite à la rencontre avec Mamoudou Baidy GAYE, actuel résident de la MDJ, le mardi 25 octobre 2018.
En exil en France depuis le 7 avril 2018, Mamoudou Baidy GAYE, journaliste et activiste pour les droits humains en Mauritanie, est un professionnel actif désormais mobilisé dans le cadre des activités de sensibilisation à la liberté d’expression de la Maison des journalistes.
Intervenant dans le programme Renvoyé Spécial, M. GAYE a pu témoigner de son histoire et de la situation socio-politique de son pays lors de la nouvelle collaboration avec la direction territoriale de la PJJ du Val d’Oise (Protection Judiciaire de la Jeunesse / Ministère de la Justice).
Le programme Renvoyé Spécial Val d’Oise 2018-2019 a commencé avec une visite des locaux de la MDJ, animée par Camille PEYSSARD-MIQUEAU, à l’occasion d’un stage de citoyenneté qui au eu lieu le mardi 25 octobre.
Dans la délégation composée d’une dizaine de jeunes, quatre professionnels de la PJJ : deux éducatrices, coordonnées par Stéphane COUSIN, Responsable d’Unité Educative de l’UEMO Sarcelles et Odile VILLARD, Conseillère Technique Service Social et Référente Laicité-Citoyenneté, en charge du partenariat avec la MDJ.
Moment central de l’action, la rencontre avec le journaliste, M. GAYE. « Sensibiliser l’opinion publique – a commenté l’intervenant – , notamment les jeunes, sur mon pays est pour moi une mission très importante. Partager mon vécu n’est pas simple mais je le considère comme prioritaire, pour faire comprendre la situation de la liberté de l’information et aussi les conditions d’insécurité des journalistes et activistes pour les droits humains en Mauritanie. »
Ci-dessous la galerie photo de la rencontre (crédit : Lisa Viola ROSSI) :
Presse 19 en Italie : Free Iran ? Table ronde avec Mariam Mana et Rasoul Asghari
La rencontre aura lieu le mercredi 28 novembre 2018 de 18h30 à 20h au Circle de la presse de Turin (Palazzo Ceriana Mayneri – Corso Stati Uniti 27, Torino).
Les intervenants :
Professionnels de la Maison des journalistes :
Rasoul Asghari, journaliste iranien, exilé en France depuis 2012
Mariam Mana, journaliste afghane, exilée en France depuis 2015
Avec :
Darline Cothière, directrice de la Maison des journalistes
Farian Sabahi, journaliste spécialisée dans le Moyen-Orient et écrivaine
Introduction de :
Federico Ferrero, directeur de la rédaction du Caffè dei Giornalisti
Free Iran ? Quarante ans après, réflexions sur la révolution
Il y a 40 ans, l’Iran a été le théâtre d’une révolution qui a bouleversé le système politique.
Pays aux multiples contradictions, l’Iran se trouve aux dernières places du classement international de la liberté de la presse de Reporters sans frontières. Malgré cela, sa population est en effervescence et lutte pour obtenir des changements concrets.
Dans les manifestations de rue de la société civile contre les pouvoirs constitués, le peuple demande, entre autres, des mesures de lutte contre la pauvreté, causée notamment par l’effondrement de sa monnaie.
Dans le travail des journalistes et des militants dissidents, on voit la tentative de rendre l’Iran une nation moderne, plus libre et plus juste.
Cette table ronde vise à ouvrir un dialogue sur l’Iran, quarante ans après la révolution, dans un moment historique dans lequel les sanctions économiques imposées par les États-Unis mettent encore plus en difficulté la vie des citoyens déjà menacés dans leurs libertés fondamentales.
Pour télécharger l’affiche en italien (version PDF), cliquez ici
Pour s’inscrire :
Cette rencontre rentre dans le cadre des formations adressées aux journalistes italiens : la participation attribue 4 crédits.
Pour s’inscrire, les journalistes peuvent accéder à la plateforme en ligne Sigef.
Si vous n’êtes pas journaliste et souhaitez assister à la rencontre, envoyez un email avec votre nom et prénom à : eventi@caffedeigiornalisti.it
Participation des réfugiés aux politiques publiques : la parole à Yvette Murekasabe
Un moment de l’intervention d’Yvette Murekasabe lors d’un atelier du 7 novembre 2018
Une journée consacrée à la participation des réfugiés aux politiques publiques a été organisée par la délégation interministérielle pour l’accueil et l’intégration des réfugiés (Diair). Ce rendez-vous rentrant dans une démarche consultative lancée le 20 juin dernier, a eu lieu le mercredi 7 novembre 2018 à l’Inalco.
Parmi les invités de l’Haut Commissariat des Nations Unies pour les Réfugiés (Unhcr), Yvette MUREKASABE, journaliste burundaise en exil en France, membre de la Maison des journalistes, qui a pris la parole lors des ateliers organisés tout au long de la journée.
Pour télécharger l’ordre du jour de l’évènement, cliquez ici
La démarche de consultation des personnes réfugiées de la Diair
La délégation interministérielle pour l’accueil et l’intégration des réfugiés (Diair) lance une démarche consultative auprès des personnes réfugiées sur la Stratégie nationale d’accueil et d’intégration des réfugiés en France. Cette démarche a commencé le 20 juin dernier lors de la journée mondiale des réfugiés au cours de laquelle le Préfet Régnier a échangé avec des réfugiés sur leur situation en France. Pour lire sur la consultation du 20 juin : https://accueil-integration-refugies.fr/2018/06/27/retour-sur-la-journee-mondiale-des-refugies-2018-aveclesrefugies/
La méthodologie de consultation a ensuite été affinée en juillet avec les associations du secteur de l’Asile lors d’un atelier réalisé lors de la journée des associations organisée par la Diair.
La journée du 7 novembre : formation / ateliers / restitution
Le 7 novembre a été organisée une journée de participation des réfugiés aux politiques publiques à l’Inalco. Cette journée a proposé des temps de formations à la prise de parole et à la construction d’un discours collectif pour les personnes réfugiées, des ateliers thématiques de consultation et une restitution auprès du Diair (cf ordre du jour ci-dessus).
Chaque atelier fait l’objet d’une thématique (femmes, collectivités locales, stratégie nationale). Le sujet traité concerne le lien entre les réfugiés et la société française.
Ci-dessous le tweet de Céline SCHMITT, Responsable de l’Information Publique et Porte-Parole de l’Unhcr, qui a animé un des ateliers de la journée.
Semaine des écrivains persécutés : Deux professionnels de la MDJ témoignent
Les deux militants pour la liberté d’information multiplieront leurs rendez-vous auprès d’élèves de 3ème, de lycéens et d’étudiants de Saint-Quentin-en Yvelines du 12 au 16 novembre 2018.
Point d’orgue de la Semaine, une soirée qui se tiendra à La Batterie de Guyancourt (1 1 Rue de la Redoute, 78280 Guyancourt) dès 20h30 le jeudi 15 novembre, déclaré par le P.E.N club international » Journée Internationale des écrivains persécutés, emprisonnés et empêchés ».
Pour télécharger l’affiche de l’évènement, cliquez ici
MAISON DES JOURNALISTES: PRESS DOSSIER (OCTOBER 2018)
Click here or on the picture below to read our press dossier (october 2018).