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Information
Voici un quizz qui permet d’aborder, de manière introductive, des notions-clés du journalisme et de la liberté d’expression. Ce quizz, sous forme de questions-réponses, comporte 20 questions – dont la réponse correcte est développée par la suite plus en détail. La durée du test est d’un peu plus de dix minutes.
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Question 1 sur 20
1. Question
A ton avis, quel est le pourcentage de pays où la presse est complètement libre ?
Exact
(réponse : a), explication : 14% des pays du monde bénéficient d’une liberté de la presse complète. 42% disposent d’une liberté de la presse partielle et 44% n’ont pas du tout de liberté de la presse. (Source : https://freedomhouse.org)
Inexact
(réponse : a), explication : 14% des pays du monde bénéficient d’une liberté de la presse complète. 42% disposent d’une liberté de la presse partielle et 44% n’ont pas du tout de liberté de la presse. (Source : https://freedomhouse.org)
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Question 2 sur 20
2. Question
Depuis quand la liberté de la presse est-elle reconnue par la loi en France ?
Exact
(réponse : b), explication : La presse a joué un rôle important dans les mouvements de contestation de la monarchie. La mise en place, en 1870, d’un régime démocratique, la IIIe République, va rapidement déboucher sur l’établissement d’une loi qui fonde la liberté de la presse en France. La loi du 29 juillet 1881 stipule dans son article 1 que « l’imprimerie et la librairie sont libres ». Cette loi est toujours en vigueur aujourd’hui. (Source : https://freedomhouse.org)
Inexact
(réponse : b), explication : La presse a joué un rôle important dans les mouvements de contestation de la monarchie. La mise en place, en 1870, d’un régime démocratique, la IIIe République, va rapidement déboucher sur l’établissement d’une loi qui fonde la liberté de la presse en France. La loi du 29 juillet 1881 stipule dans son article 1 que « l’imprimerie et la librairie sont libres ». Cette loi est toujours en vigueur aujourd’hui. (Source : https://freedomhouse.org)
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Question 3 sur 20
3. Question
Chaque année, l’association Reporters sans Frontières établit un classement de l’état de la liberté de la presse dans le monde. En 2017, sur 180 pays la France était classée :
Exact
(réponse : c), explication : Reporters sans Frontières publie un classement mondial de la liberté de la presse chaque année qui montre l’état de la liberté de la presse et de la liberté d’expression en général. Parmi les pays les plus répressifs figurent la Corée du Nord, l’Érythrée, le Turkménistan, la Syrie, la Chine et le Vietnam. Si la presse est globalement libre et plutôt bien protégée par la loi, le paysage médiatique français est largement constitué de groupes dont les propriétaires ont d’autres intérêts que leur attachement au journalisme. Cette situation entraîne des conflits qui font peser une menace sur l’indépendance éditoriale, et même sur la situation économique des médias. En novembre 2016, iTélé, la chaîne info du groupe Canal Plus, a connu un mouvement de grève sans précédent pour protester contre les choix éditoriaux de la direction. Ce mouvement a déclenché une vague de départs : une centaine de journalistes ont quitté la chaîne en l’espace de quelques semaines. Les restructurations se sont multipliées dans d’autres rédactions en 2016 – à L’Obs, au Parisien-Aujourd’hui en France, au sein du groupe Lagardère ou de Mondadori France – tandis que d’autres médias faisaient leur apparition, à l’instar d’Explicite sur Internet et Franceinfo sur la TNT. Une recrudescence de pratiques violentes des forces de l’ordre contre des reporters, à l’occasion des manifestations contre la loi travail ou du démantèlement de la jungle de Calais, a par ailleurs été observée. D’autre part, pendant la campagne présidentielle, les politiques et la population ont affiché une hostilité grandissante à l’égard des journalistes. (Source : https://fr.rsf.org/)
Inexact
(réponse : c), explication : Reporters sans Frontières publie un classement mondial de la liberté de la presse chaque année qui montre l’état de la liberté de la presse et de la liberté d’expression en général. Parmi les pays les plus répressifs figurent la Corée du Nord, l’Érythrée, le Turkménistan, la Syrie, la Chine et le Vietnam. Si la presse est globalement libre et plutôt bien protégée par la loi, le paysage médiatique français est largement constitué de groupes dont les propriétaires ont d’autres intérêts que leur attachement au journalisme. Cette situation entraîne des conflits qui font peser une menace sur l’indépendance éditoriale, et même sur la situation économique des médias. En novembre 2016, iTélé, la chaîne info du groupe Canal Plus, a connu un mouvement de grève sans précédent pour protester contre les choix éditoriaux de la direction. Ce mouvement a déclenché une vague de départs : une centaine de journalistes ont quitté la chaîne en l’espace de quelques semaines. Les restructurations se sont multipliées dans d’autres rédactions en 2016 – à L’Obs, au Parisien-Aujourd’hui en France, au sein du groupe Lagardère ou de Mondadori France – tandis que d’autres médias faisaient leur apparition, à l’instar d’Explicite sur Internet et Franceinfo sur la TNT. Une recrudescence de pratiques violentes des forces de l’ordre contre des reporters, à l’occasion des manifestations contre la loi travail ou du démantèlement de la jungle de Calais, a par ailleurs été observée. D’autre part, pendant la campagne présidentielle, les politiques et la population ont affiché une hostilité grandissante à l’égard des journalistes. (Source : https://fr.rsf.org/)
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Question 4 sur 20
4. Question
Que désigne le terme « Presse » ?
Exact
(réponse : a), explication : La « presse » est un terme générique qui regroupe tous les moyens disponibles pour transmettre de l’information. Elle peut être généraliste (parler de tout) ou spécialisée dans un domaine (sport, mode, culture, etc). (Source : https://fr.rsf.org/).
Inexact
(réponse : a), explication : La « presse » est un terme générique qui regroupe tous les moyens disponibles pour transmettre de l’information. Elle peut être généraliste (parler de tout) ou spécialisée dans un domaine (sport, mode, culture, etc). (Source : https://fr.rsf.org/).
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Question 5 sur 20
5. Question
Les textes déontologiques des journalistes sont fondés sur le principe :
Exact
(réponse : d), explication : Les journalistes, et les éditeurs de médias d’information dont ils dépendent, en France, ne disposent pas d’un texte déontologique de référence ; ils en ont plusieurs. Les cinq textes qui s’adressent à tout journaliste dans l’Hexagone sont : 1. la Charte d’éthique professionnelle des journalistes du SNJ (de 1918, mise à jour en 1938, puis en 2011) ; 2. la Déclaration de principe sur la conduite des journalistes de la Fédération internationale des journalistes (FIJ) de 1954, révisée en 1986 ; 3. la Déclaration des devoirs et des droits des journalistes élaborée en 1971 à Munich par un collège, de syndicats principalement, international ; 4. la Charte Qualité de l’information élaborée, en 2008, à la faveur des Assises internationales du journalisme de Lille par un groupe de travail pluriel ; 5. le projet de Code de déontologie pour les journalistes proposé par le comité des onze « sages » réunis donc par Bruno Frappat (2009). Les chartes et codes ne se contredisent pas car ils sont tous fondés sur le même principe de responsabilité. Il détermine aussi l’ensemble de son action. A ce sujet nous citons deux de ces documents : « Le droit à l’information, à la libre expression et à la critique est une des libertés fondamentales de tout être humain. De ce droit du public à connaître les faits et les opinions procède l’ensemble des devoirs et des droits des journalistes » (Déclaration Munich) ; « Le droit à l’information est une liberté fondamentale de tout être humain, comme le droit à la critique et à la libre expression […]. Le droit du public à une information de qualité fonde la légitimité du travail des journalistes […] » (Charte Qualité). Elles indiquent également que le journaliste est responsable de ses écrits et doit les assumer entièrement, même s’il écrit sous couvert d’anonymat ou sous un pseudonyme. (Source : http://www.cahiersdujournalisme.net).
Inexact
(réponse : d), explication : Les journalistes, et les éditeurs de médias d’information dont ils dépendent, en France, ne disposent pas d’un texte déontologique de référence ; ils en ont plusieurs. Les cinq textes qui s’adressent à tout journaliste dans l’Hexagone sont : 1. la Charte d’éthique professionnelle des journalistes du SNJ (de 1918, mise à jour en 1938, puis en 2011) ; 2. la Déclaration de principe sur la conduite des journalistes de la Fédération internationale des journalistes (FIJ) de 1954, révisée en 1986 ; 3. la Déclaration des devoirs et des droits des journalistes élaborée en 1971 à Munich par un collège, de syndicats principalement, international ; 4. la Charte Qualité de l’information élaborée, en 2008, à la faveur des Assises internationales du journalisme de Lille par un groupe de travail pluriel ; 5. le projet de Code de déontologie pour les journalistes proposé par le comité des onze « sages » réunis donc par Bruno Frappat (2009). Les chartes et codes ne se contredisent pas car ils sont tous fondés sur le même principe de responsabilité. Il détermine aussi l’ensemble de son action. A ce sujet nous citons deux de ces documents : « Le droit à l’information, à la libre expression et à la critique est une des libertés fondamentales de tout être humain. De ce droit du public à connaître les faits et les opinions procède l’ensemble des devoirs et des droits des journalistes » (Déclaration Munich) ; « Le droit à l’information est une liberté fondamentale de tout être humain, comme le droit à la critique et à la libre expression […]. Le droit du public à une information de qualité fonde la légitimité du travail des journalistes […] » (Charte Qualité). Elles indiquent également que le journaliste est responsable de ses écrits et doit les assumer entièrement, même s’il écrit sous couvert d’anonymat ou sous un pseudonyme. (Source : http://www.cahiersdujournalisme.net).
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Question 6 sur 20
6. Question
Quelle est la différence entre « liberté de la presse » et « liberté d’expression » ?
Exact
(réponse : b), explication : La liberté d’expression est une liberté fondamentale et est inscrite dans la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme. La liberté de la presse “consolide” la liberté d’expression pour protéger ceux dont l’expression est le métier : les journalistes. On parle même de “liberté d’informer”, car cette liberté ne concerne pas seulement les journalistes de métier. Elle concerne aussi, par exemple, un blogueur (qui, souvent, n’est pas journaliste) qui informe sur des événements de son pays. Les limites de la liberté d’expression correspondent à la protection d’autres droits. L’incitation à la haine raciale, nationale, religieuse est interdite, tout comme l’appel à la violence physique ou la diffamation, la calomnie, le négationnisme, l’atteinte à la propriété intellectuelle et le secret professionnel. (Source : http://www.monquotidien.fr/)
Inexact
(réponse : b), explication : La liberté d’expression est une liberté fondamentale et est inscrite dans la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme. La liberté de la presse “consolide” la liberté d’expression pour protéger ceux dont l’expression est le métier : les journalistes. On parle même de “liberté d’informer”, car cette liberté ne concerne pas seulement les journalistes de métier. Elle concerne aussi, par exemple, un blogueur (qui, souvent, n’est pas journaliste) qui informe sur des événements de son pays. Les limites de la liberté d’expression correspondent à la protection d’autres droits. L’incitation à la haine raciale, nationale, religieuse est interdite, tout comme l’appel à la violence physique ou la diffamation, la calomnie, le négationnisme, l’atteinte à la propriété intellectuelle et le secret professionnel. (Source : http://www.monquotidien.fr/)
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Question 7 sur 20
7. Question
Est-ce que le droit à la liberté de la presse protège les dessinateurs ?
Exact
(réponse : a), explication : La presse signifie tous les moyens de diffuser l’information et un dessinateur de presse diffuse l’information à travers ses dessins. Le but du dessinateur de presse est commenter le plus simplement du monde une actualité parfois complexe avec un angle de vue et un trait d’humour. (Source : http://www.cahiersdujournalisme.net/).
Inexact
(réponse : a), explication : La presse signifie tous les moyens de diffuser l’information et un dessinateur de presse diffuse l’information à travers ses dessins. Le but du dessinateur de presse est commenter le plus simplement du monde une actualité parfois complexe avec un angle de vue et un trait d’humour. (Source : http://www.cahiersdujournalisme.net/).
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Question 8 sur 20
8. Question
Pendant longtemps, la censure a été représentée sous les traits d’Anastasie. C’était :
Exact
(réponse : a), explication : Anastasie est un dessin d’André Gill (pseudonyme de Louis-Alexandre Gosset de Guines, 1840-1885), l’un des plus célèbres dessinateurs de presse du XIXe siècle. André Gill semble avoir fait la première représentation humaine de la censure : Madame Anastasie, créature revêche armée de ciseaux géants. Symbole de la nuit, la chouette qui l’accompagne évoque les croyances les plus obscures. Si l’on retrouve déjà dans des illustrations antérieures un personnage porteur de longs ciseaux, c’est dans les années 1870 que le personnage d’Anastasie s’installe réellement dans les journaux. (Source : http://expositions.bnf.fr/).
Inexact
(réponse : a), explication : Anastasie est un dessin d’André Gill (pseudonyme de Louis-Alexandre Gosset de Guines, 1840-1885), l’un des plus célèbres dessinateurs de presse du XIXe siècle. André Gill semble avoir fait la première représentation humaine de la censure : Madame Anastasie, créature revêche armée de ciseaux géants. Symbole de la nuit, la chouette qui l’accompagne évoque les croyances les plus obscures. Si l’on retrouve déjà dans des illustrations antérieures un personnage porteur de longs ciseaux, c’est dans les années 1870 que le personnage d’Anastasie s’installe réellement dans les journaux. (Source : http://expositions.bnf.fr/).
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Question 9 sur 20
9. Question
Comment appelle-t-on une personne contrainte de quitter son pays parce qu’elle y est en danger ?
Exact
(réponse : c), explication : Selon la Convention de Genève du 28 juillet 1951, « le terme « réfugié » s’appliquera à toute personne […] qui, craignant avec raison d’être persécutée du fait de sa race, de sa religion, de sa nationalité, de son appartenance à un certain groupe social ou de ses opinions politiques se trouve hors du pays dont elle a la nationalité, et qui ne peut, ou du fait de sa crainte, ne veut se réclamer de la protection de ce pays. ».
Inexact
(réponse : c), explication : Selon la Convention de Genève du 28 juillet 1951, « le terme « réfugié » s’appliquera à toute personne […] qui, craignant avec raison d’être persécutée du fait de sa race, de sa religion, de sa nationalité, de son appartenance à un certain groupe social ou de ses opinions politiques se trouve hors du pays dont elle a la nationalité, et qui ne peut, ou du fait de sa crainte, ne veut se réclamer de la protection de ce pays. ».
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Question 10 sur 20
10. Question
Combien de personnes ont été contraintes de fuir leur foyer en 2014 ?
Exact
(réponse : d), explication : En 2014, 59,5 millions de personnes ont été contraintes de fuir leur foyer (l’équivalent de la quasi-totalité de la population française). Si ces réfugiés étaient une nation, ils formeraient le 24 ème plus grand pays au monde. L’année précédente, le nombre de déracinés atteignait 51,2 millions et 37,5 millions il y a dix ans. L’augmentation depuis 2013 est la plus importante jamais enregistrée en une seule année.
Pour en savoir plus sur les sujets abordés de la question n. 10 à la question n. 16, veuillez-vous connecter au site http://www.unhcr.fr.
Inexact
(réponse : d), explication : En 2014, 59,5 millions de personnes ont été contraintes de fuir leur foyer (l’équivalent de la quasi-totalité de la population française). Si ces réfugiés étaient une nation, ils formeraient le 24 ème plus grand pays au monde. L’année précédente, le nombre de déracinés atteignait 51,2 millions et 37,5 millions il y a dix ans. L’augmentation depuis 2013 est la plus importante jamais enregistrée en une seule année.
Pour en savoir plus sur les sujets abordés de la question n. 10 à la question n. 16, veuillez-vous connecter au site http://www.unhcr.fr.
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Question 11 sur 20
11. Question
Quel est le pays qui accueille le plus grand nombre de réfugiés au monde ?
Exact
(réponse : b), explication : La Turquie est devenue en 2014 le pays qui accueille le plus de réfugiés au monde, avec 1 600 000 personnes accueillies. En deuxième position on retrouve le Pakistan, accueillant 1 500 000 réfugiés, suivi du Liban (1 150 000), puis l’Iran (982 000), l’Ethiopie (659 500) et enfin la Jordanie (654 100 réfugiés).
Inexact
(réponse : b), explication : La Turquie est devenue en 2014 le pays qui accueille le plus de réfugiés au monde, avec 1 600 000 personnes accueillies. En deuxième position on retrouve le Pakistan, accueillant 1 500 000 réfugiés, suivi du Liban (1 150 000), puis l’Iran (982 000), l’Ethiopie (659 500) et enfin la Jordanie (654 100 réfugiés).
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Question 12 sur 20
12. Question
Quel est le pays qui génère le plus de réfugiés ?
Exact
(réponse : c), explication : La Syrie a généré en 2014 l’exil de 3,88 millions de personnes. En Afghanistan, 2,59 millions de personnes ont été également contraintes de fuir leur pays, et la Somalie en a généré 1,11 millions en 2014. Plus de la moitié (53%) des réfugiés est originaire de ces trois pays.
Inexact
(réponse : c), explication : La Syrie a généré en 2014 l’exil de 3,88 millions de personnes. En Afghanistan, 2,59 millions de personnes ont été également contraintes de fuir leur pays, et la Somalie en a généré 1,11 millions en 2014. Plus de la moitié (53%) des réfugiés est originaire de ces trois pays.
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Question 13 sur 20
13. Question
Quelle part prennent les enfants dans la population des réfugiés ?
Exact
(réponse : c), explication : Les enfants de moins de 18 ans représentent plus de 51% de la population mondiale de réfugiés en 2014, le plus haut taux de la décennie. En 2009, les enfants représentaient 41% des réfugiés. Les 18-59 ans représentent 46%, les 60 et plus représentent 3%.
Inexact
(réponse : c), explication : Les enfants de moins de 18 ans représentent plus de 51% de la population mondiale de réfugiés en 2014, le plus haut taux de la décennie. En 2009, les enfants représentaient 41% des réfugiés. Les 18-59 ans représentent 46%, les 60 et plus représentent 3%.
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Question 14 sur 20
14. Question
Au Liban, quelle part les réfugiés représentent-ils par rapport à la population ?
Exact
(réponse : c), explication : Les réfugiés accueillis au Liban représentent le plus grand ratio par rapport à sa population nationale: 232 réfugiés pour 1000 habitants. La Jordanie, autre pays hôte, a un ratio de 87/1000.
Inexact
(réponse : c), explication : Les réfugiés accueillis au Liban représentent le plus grand ratio par rapport à sa population nationale: 232 réfugiés pour 1000 habitants. La Jordanie, autre pays hôte, a un ratio de 87/1000.
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Question 15 sur 20
15. Question
Au cours de l’année 2014, combien de réfugiés ont-ils pu retourner dans leur pays d’origine ?
Exact
(réponse : a), explication : Au cours de l’année 2014, 126 800 réfugiés ont pu regagner leur pays d’origine. La moitié d’entre eux est retournée en République Démocratique du Congo (25 200), 21 000 au Mali et 17 800 en Afghanistan. C’est le taux de retour de réfugiés le plus bas depuis 1983. La Convention de Genève du 28 juillet 1951 cesse d’être applicable à une personne réfugiée si elle a eu volontairement des contacts avec son ambassade ou son consulat ou si elle est retournée volontairement s’établir dans le pays qu’elle a quitté de crainte d’être persécutée ou si les circonstances à la suite desquelles elle a été reconnue comme réfugiée ont cessé d’exister : par exemple s’il y a un changement de régime ou si la paix revient dans le pays.
Inexact
(réponse : a), explication : Au cours de l’année 2014, 126 800 réfugiés ont pu regagner leur pays d’origine. La moitié d’entre eux est retournée en République Démocratique du Congo (25 200), 21 000 au Mali et 17 800 en Afghanistan. C’est le taux de retour de réfugiés le plus bas depuis 1983. La Convention de Genève du 28 juillet 1951 cesse d’être applicable à une personne réfugiée si elle a eu volontairement des contacts avec son ambassade ou son consulat ou si elle est retournée volontairement s’établir dans le pays qu’elle a quitté de crainte d’être persécutée ou si les circonstances à la suite desquelles elle a été reconnue comme réfugiée ont cessé d’exister : par exemple s’il y a un changement de régime ou si la paix revient dans le pays.
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Question 16 sur 20
16. Question
Que garantit la loi du 27 juillet 1951 en faveur des réfugiés ?
Exact
(réponse : d), explication : La Convention du 28 juillet 1951, dite Convention de Genève, définit les modalités selon lesquelles un Etat doit accorder le statut de réfugié aux personnes qui en font la demande. Elle établit les normes essentielles pour le traitement des réfugiés, laissant aux états le libre cours d’accorder un traitement plus favorable. Elle doit être appliquée sans discrimination par rapport à la race, la religion ou le pays d’origine du requérant. Elle prévoit diverses garanties contre l’expulsion des réfugiés, ainsi que des dispositions relatives à l’obtention des documents qui leur sont nécessaires, y compris un titre de voyage. Le réfugié se voit alors assuré d’une protection sur le territoire européen grâce au principe du non-refoulement, selon lequel aucun Etat (signataire de la Convention de Genève) n’expulsera ou ne refoulera en aucune manière un réfugié, contre sa volonté́, vers un territoire où il craint d’être persécuté.
Inexact
(réponse : d), explication : La Convention du 28 juillet 1951, dite Convention de Genève, définit les modalités selon lesquelles un Etat doit accorder le statut de réfugié aux personnes qui en font la demande. Elle établit les normes essentielles pour le traitement des réfugiés, laissant aux états le libre cours d’accorder un traitement plus favorable. Elle doit être appliquée sans discrimination par rapport à la race, la religion ou le pays d’origine du requérant. Elle prévoit diverses garanties contre l’expulsion des réfugiés, ainsi que des dispositions relatives à l’obtention des documents qui leur sont nécessaires, y compris un titre de voyage. Le réfugié se voit alors assuré d’une protection sur le territoire européen grâce au principe du non-refoulement, selon lequel aucun Etat (signataire de la Convention de Genève) n’expulsera ou ne refoulera en aucune manière un réfugié, contre sa volonté́, vers un territoire où il craint d’être persécuté.
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Question 17 sur 20
17. Question
La Maison des journalistes a accueilli le plus grand nombre des journalistes en provenance de quelle région ?
Exact
(réponse : b), explication : Depuis sa création, la MDJ a accueilli plus de 300 journalistes de 60 nationalités différentes, venu des quatre coins du monde au gré de l’actualité des répressions et 29% des journalistes venaient du Moyen Orient. Après le Moyen Orient, 15% venaient de l’Afrique de l’Ouest et 14% de l’Afrique centrale. Au 30 janvier 2015, le premier pays pour nombre de journaliste était la Syrie (33 journalistes), l’Iran (21) et la Turquie (16). En 2014, 31 journalistes de 14 nationalités ont été accueillis par la MDJ. La Syrie, la Guinée Conakry et la Cote d’Ivoire occupent les premiers rangs en termes de pays pourvoyeurs de journalistes exilés.
Inexact
(réponse : b), explication : Depuis sa création, la MDJ a accueilli plus de 300 journalistes de 60 nationalités différentes, venu des quatre coins du monde au gré de l’actualité des répressions et 29% des journalistes venaient du Moyen Orient. Après le Moyen Orient, 15% venaient de l’Afrique de l’Ouest et 14% de l’Afrique centrale. Au 30 janvier 2015, le premier pays pour nombre de journaliste était la Syrie (33 journalistes), l’Iran (21) et la Turquie (16). En 2014, 31 journalistes de 14 nationalités ont été accueillis par la MDJ. La Syrie, la Guinée Conakry et la Cote d’Ivoire occupent les premiers rangs en termes de pays pourvoyeurs de journalistes exilés.
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Question 18 sur 20
18. Question
La Maison des journalistes propose quelles aides aux journalistes réfugiés ?
Exact
(réponse : d), explication : Les journalistes bénéficient d’un hébergement pour à peu près 6 mois. La MDJ fournit à ses 14 résidents, pendant toute la durée de leur séjour, des tickets restaurant journaliers, ainsi qu’un pass navigo mensuel. L’aide dans les diverses démarches, pour l’obtention du statut de réfugié, d’un logement, de la couverture maladie, etc. est indispensable. La MDJ fait aussi appel, si nécessaire, à une avocate spécialisée dans le droit d’asile. De plus, 65% des journalistes hébergés par la MDJ viennent de pays non francophones, du coup la MDJ propose dans ses locaux des cours de français langue étrangère (FLE). En février 2014 la MDJ a relancé son journal, L’œil de l’exilé, à travers une plateforme en ligne : http://www.loeildelexile.org, conçu comme un espace d’information indépendante où les journalistes de la MDJ peuvent publier leur papiers ainsi que leur reportage photo et audio-vidéo. Parmi les taches du Pôle Communication de la MDJ, on retrouve finalement la promotion de la visibilité médiatique de ses journalistes afin de faire connaitre leurs histoires et mettre en valeur leurs compétences.
Inexact
(réponse : d), explication : Les journalistes bénéficient d’un hébergement pour à peu près 6 mois. La MDJ fournit à ses 14 résidents, pendant toute la durée de leur séjour, des tickets restaurant journaliers, ainsi qu’un pass navigo mensuel. L’aide dans les diverses démarches, pour l’obtention du statut de réfugié, d’un logement, de la couverture maladie, etc. est indispensable. La MDJ fait aussi appel, si nécessaire, à une avocate spécialisée dans le droit d’asile. De plus, 65% des journalistes hébergés par la MDJ viennent de pays non francophones, du coup la MDJ propose dans ses locaux des cours de français langue étrangère (FLE). En février 2014 la MDJ a relancé son journal, L’œil de l’exilé, à travers une plateforme en ligne : http://www.loeildelexile.org, conçu comme un espace d’information indépendante où les journalistes de la MDJ peuvent publier leur papiers ainsi que leur reportage photo et audio-vidéo. Parmi les taches du Pôle Communication de la MDJ, on retrouve finalement la promotion de la visibilité médiatique de ses journalistes afin de faire connaitre leurs histoires et mettre en valeur leurs compétences.
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Question 19 sur 20
19. Question
Les intervenants à Renvoyé spécial sont des journalistes qui ont quitté leur pays :
Exact
(réponse : c), explication : Les journalistes intervenants dans le cadre de l’opération Renvoyé Spécial sont des exilés, c’est-à-dire des demandeurs d’asile ou réfugiés qui ont été persécutés dans leur métier. Ces hommes et ces femmes ont tenté de pratiquer une presse libre dans leur pays. Ils sont subi la répression de la part de groupes ou de régimes qui ne respectent pas la liberté de la presse ni la liberté d’expression. Selon la Convention de Genève, un réfugié est d’ailleurs une personne qui, craignant avec raison d’être persécutée du fait de sa race, sa religion, sa nationalité, son appartenance à un certain groupe social, ses opinions politiques, se trouve hors du pays dont elle a la nationalité.
Inexact
(réponse : c), explication : Les journalistes intervenants dans le cadre de l’opération Renvoyé Spécial sont des exilés, c’est-à-dire des demandeurs d’asile ou réfugiés qui ont été persécutés dans leur métier. Ces hommes et ces femmes ont tenté de pratiquer une presse libre dans leur pays. Ils sont subi la répression de la part de groupes ou de régimes qui ne respectent pas la liberté de la presse ni la liberté d’expression. Selon la Convention de Genève, un réfugié est d’ailleurs une personne qui, craignant avec raison d’être persécutée du fait de sa race, sa religion, sa nationalité, son appartenance à un certain groupe social, ses opinions politiques, se trouve hors du pays dont elle a la nationalité.
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Question 20 sur 20
20. Question
Qu’est-ce que c’est le but de l’opération Renvoyé Spécial ?
Exact
(réponse : b), explication : Le but de l’opération Renvoyé Spécial est de sensibiliser les lycéens autour de la liberté d’expression, de la presse et du pluralisme dans les médias à partir d’une rencontre avec un(e) journaliste réfugié(e) politique en France, exilé suite aux persécutions dont il(elle) a été victime à cause d’avoir voulu son métier. Ce projet présente également une opportunité pour les élèves de dialoguer avec ces journalistes réfugiés afin de mieux comprendre les réalités de l’exil et de leurs pays. Ce programme est un modèle qui contribue à la valorisation des journalistes en exil, en exploitant leurs compétences et leurs expériences, pour offrir aux citoyens de demain un point de vue alternatif et précieux autour des valeurs de la démocratie et de la paix.
Pour en savoir plus sur les sujets abordés de la question n. 17 à la question n. 20, veuillez-vous connecter au site http://www.maisondesjournalistes.org.
Inexact
(réponse : b), explication : Le but de l’opération Renvoyé Spécial est de sensibiliser les lycéens autour de la liberté d’expression, de la presse et du pluralisme dans les médias à partir d’une rencontre avec un(e) journaliste réfugié(e) politique en France, exilé suite aux persécutions dont il(elle) a été victime à cause d’avoir voulu son métier. Ce projet présente également une opportunité pour les élèves de dialoguer avec ces journalistes réfugiés afin de mieux comprendre les réalités de l’exil et de leurs pays. Ce programme est un modèle qui contribue à la valorisation des journalistes en exil, en exploitant leurs compétences et leurs expériences, pour offrir aux citoyens de demain un point de vue alternatif et précieux autour des valeurs de la démocratie et de la paix.
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