LA MAISON DES JOURNALISTES
RECHERCHE
DESIGNER-DÉVELOPPEUR WEB D’INTERFACES UI / UX
Description : La Maison des journalistes (MDJ) est une association loi 1901, située à Paris qui accueille et accompagne des journalistes contraints de fuir leur pays pour avoir voulu pratiquer une information libre. Il s’agit d’un lieu de résidence provisoire pour ces exilés, professionnels de l’information, un endroit pour se reconstruire et continuer la mobilisation en faveur de la liberté d’expression et la liberté de la presse.
Expérience : Formation en école de graphisme, d’arts visuels
Vous avez une expérience réussie dans le graphisme en agence digitale et vous êtes reconnu pour vos talents de créatif.
Vous maîtrisez des outils de production graphique numérique tels que Photoshop – Flash (animation) – Illustrator – After Effects
Qualités du candidat : Adaptable, créatif
Fonction : Vous collaborerez à la conception graphique des outils numériques et à la réalisation d’une interface UI / UX web et animation d’outils pour un projet e-learning en respectant les normes d’ergonomie web.
Vous créerez également des animations : flash, gif animé, etc. et ciblez les besoins graphiques.
En détails :
1. Créer et développer une identité graphique du kit pédagogique
2. Animer les planches d’une BD en permettant une lecture multimédia de l’histoire d’un journaliste en exil
3. Créer une narration animée d’un dossier : le point départ est la carte sémantique de la liberté de presse
Mission : Animation web, Formation : collaborer à un projet d’e-learning sur les thématiques suivantes : liberté d’expression, droits d’asile, laïcité
Nom de la personne contact : Lisa Viola ROSSI lisaviola.rossi@maisondesjournalistes.org
Date de fin de validité : 15/09/2018
OFFRE D’EMPLOI : DESIGNER-DÉVELOPPEUR WEB D’INTERFACES UI / UX
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DESIGNER-DÉVELOPPEUR WEB D’INTERFACES UI / UX
Description : La Maison des journalistes (MDJ) est une association loi 1901, située à Paris qui accueille et accompagne des journalistes contraints de fuir leur pays pour avoir voulu pratiquer une information libre. Il s’agit d’un lieu de résidence provisoire pour ces exilés, professionnels de l’information, un endroit pour se reconstruire et continuer la mobilisation en faveur de la liberté d’expression et la liberté de la presse.
Expérience : Formation en école de graphisme, d’arts visuels
Vous avez une expérience réussie dans le graphisme en agence digitale et vous êtes reconnu pour vos talents de créatif.
Vous maîtrisez des outils de production graphique numérique tels que Photoshop – Flash (animation) – Illustrator – After Effects
Qualités du candidat : Adaptable, créatif
Fonction : Vous collaborerez à la conception graphique des outils numériques et à la réalisation d’une interface UI / UX web et animation d’outils pour un projet e-learning en respectant les normes d’ergonomie web.
Vous créerez également des animations : flash, gif animé, etc. et ciblez les besoins graphiques.
En détails :
1. Créer et développer une identité graphique du kit pédagogique
2. Animer les planches d’une BD en permettant une lecture multimédia de l’histoire d’un journaliste en exil
3. Créer une narration animée d’un dossier : le point départ est la carte sémantique de la liberté de presse
Mission : Animation web, Formation : collaborer à un projet d’e-learning sur les thématiques suivantes : liberté d’expression, droits d’asile, laïcité
Nom de la personne contact : Lisa Viola ROSSI lisaviola.rossi@maisondesjournalistes.org
Date de fin de validité : 15/09/2018
Renvoyé Spécial à l’Etablissement Pénitentiaire pour Mineurs de Porcheville
Deux journalistes de la Maison Des Journalistes sont allés à la rencontre des jeunes de l’Etablissement Pénitentiaire pour Mineurs (EPM) de Porcheville. Ces évènements ont été organisés dans le cadre de l’opération Renvoyé Spécial PJJ, avec le soutien du ministère de la Culture et du Ministère de la Justice.
Le jeudi 17 mai 2018, le journaliste René DASSIE et Lisa Viola Rossi, chargée de communication et sensibilisation de la MDJ, se sont rendus dans l’EPM de Porcheville. Premier volet des rencontres organisées avec l’établissement pénitentiaire en 2018, cet évènement a permis aux jeunes détenus d’en apprendre davantage sur le métier de journaliste.
D’origine camerounaise, René DASSIE a travaillé pour plusieurs titres de presse écrite. Auteur de plusieurs articles jugés compromettants par l’armée au Cameroun, il est contraint de fuir son pays en 2003. Son témoignage auprès des jeunes de l’EPM a ainsi été le fil rouge d’une discussion sur la corruption, les inégalités, la violence mais aussi l’emprisonnement. Cet échange a permis aux jeunes de comprendre les risques liés à l’exercice du métier de journaliste, le départ précipité du journaliste vers la France mais aussi les difficultés qu’il a su surmonter.
Le 5 juillet, c’est le journaliste syrien, Raafat Al Ghanem qui a conclu cette série de visites. Sa présentation a permis de revenir avec les jeunes sur la complexité du conflit qui fait rage en Syrie depuis 2011.
« Ce ne sont pas des animaux… ce sont des monstres » – Témoignage d’un journaliste syrien
[PORTRAIT] Comme beaucoup de ses confrères, Mahamat n’a pas eu d’autre choix que de mettre ses compétences de journaliste au service du régime dictatorial tchadien. Mais une fois sa rédaction quittée, le jeune homme enquête sur les massacres perpétrés dans son pays.
« J’ai été contactée par les islamistes de Daech : ils m’ont dit qu’ils avaient mon fiLs en otage » – Témoignage de Fattem journaliste syrienne
[PORTRAIT] Comme beaucoup de ses confrères, Mahamat n’a pas eu d’autre choix que de mettre ses compétences de journaliste au service du régime dictatorial tchadien. Mais une fois sa rédaction quittée, le jeune homme enquête sur les massacres perpétrés dans son pays.
La Maison des journalistes à la Radio Libertaire
A l’occasion d’une émission de 2 heures en direct sur Radio Libertaire 89.4, la Maison des journalistes a pu mieux se faire connaître des auditeurs de cette fréquence francilienne historique.
Deux journalistes ex-résidents de la Maison des journalistes, étaient donc récemment présents à l’antenne pour témoigner de leurs parcours d’exil et de leurs trajectoires professionnelles depuis leur arrivée en France. Il s’agit de Béatrice et Mortaza Behboudi, journalistes exilés du Rwanda et d’Afghanistan.
Pour les accompagner: Denis Perrin, Lisa Viola Rossi et Guillaume Wulfing Luer, de la Maison des journalistes. L’équipe répondait ainsi à l’invitation de la Ligue des Droits de l’Homme du 15ème arrondissement de Paris représentée par Dominique Jovet et Rosine Gautier.
Entre deux témoignages, les œuvres musicales sélectionnées par les journalistes invités nous auront plongés dans l’histoire de leur pays et celle de leur lutte pour la liberté d’informer… Deux parcours hors des sentiers battus qui permettent de porter un regard renouvelé sur le combat encore trop méconnu d’exilés en quête d’avenir.
RENVOYE SPECIAL: Les lauréates du prix de la liberté de la presse à la MDJ
Mardi 19 juin, les lauréates du prix pour la liberté de la presse, organisé par la fédération française pour l’UNESCO ont visité la Maison des journalistes. A cette occasion, deux journalistes étaient présents pour les accueillir.
Elèves au collège Philippe de Commynes à Tours, les gagnantes du concours pour la liberté de la presse sont venues à la Maison des journalistes pour en apprendre davantage sur la liberté d’informer. Accompagnées par leurs professeurs et une délégation de la fédération française pour l’UNESCO, elles ont pu rencontrer des résidents de la Maison et échanger avec eux sur leurs parcours.
L’après-midi a débuté par une visite des locaux, l’occasion d’aller à la rencontre des journalistes présents dans ce lieu. Deux d’entre eux, se sont installés dans la salle de réunion de l’association pour présenter leur histoire et leur engagement.
Diyar Shareef, journaliste originaire du Kurdistan irakien et Moratza Behboudi, d’Afghanistan ont ainsi répondu aux nombreuses questions des trois élèves. « Auriez-vous préféré faire un autre métier ? », « Avez-vous été menacé? ». Les deux professionnels ont apporté un éclairage sur chacune d’entre elles et sont revenus sur les raisons de leur exil. Aucun d’entre eux n’a exprimé de regret sur leur profession. Malgré les difficultés et la singularité de leur parcours, le combat pour « la liberté » est une de leur motivation commune.